En ce moment pour me reconnaître, c'est facile :
C'est moi qui n'ai pas de besace Berlinale 2011, pas d'accréditation volant au vent glacial de la Postdamerplatz, les lèvres blanches et les dents claquant dans ce même vent
C'est moi. Car si moi aussi je me pèle, mais j'ai su rester naturel.