4 heure du matin.
Je descend la Gneisenaustraße. Je croise deux types. La soixantaine, un peu allumé. Ils avancent en tapant dans les mains et en disant.
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
Ramba Zamba,
En arrivant chz moi, je me surpends à dire, moi aussi Ramba Zamba.
Commentaires
Il est bien ton blog.
J aime ton écriture.
A bientôt?
Cécile.01732512967(Moabit)