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Vent, grisaille, humidité

Le plus dur, c'est pas le froid.

C'est le vent, surtout quand on est en vélo et qu'on remonte les boulevards du genre Karl Marx Allee.

C'est lle ciel gris dans lequel les arbres du Kreuzberg plantent leurs branches.

C'est l'humidité qui donne l’impression qu’on est jamais assez couvert.

Et l’hiver Berlinois a quand même tendance a être très long et constant dans ses paramètres météorologiques.

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